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Le monde hyper-tout est le meilleur moyen d’attirer notre attention vers tout et rien, pour finalement diminuer notre conscience.
En plus de nous maintenir dans un état d’hyper-vigilance, ce monde hyper-nouveau crée chez nous une conséquence adaptative. Il nous fait diminuer progressivement notre capacité à percevoir le subtil et conséquemment, comprendre les énergies qui influencent notre santé.
Ça peut sembler tirer par les cheveux, mais pour certains, c’est très évidant. Le même principe s’applique lorsque nous plissons les yeux, ou bien nous portons mécaniquement à notre visage une paire de lunettes aux verres fumés face à un soleil radiant.
Lorsque le stimulus est trop grand, nous modulons nos habitudes de vie afin de s’adapter à ce gradient d’intensité nouveau. Autrement dit, nous filtrons la réalité pour y fonctionner plus « efficacement ».
Revenir au subtil est essentiel pour la santé humaine.
Sans quoi, des filtres subtiles seront placés sur notre perception. Nous serons dirigés seulement par ce que nos sens, rapidement effrités et manipulés, pourront capter, ou pire encore, ce qui leur sera autorisé de capter.
Il est bien difficile de percevoir la forêt lorsqu’on nous suggère fortement, sous peine de perdre notre emploi, de coller notre visage sur un arbre holographique aux dimensions colossales.
La compréhension du corps physique et de soi, donc de la santé, demande la capacité de décoder des messages subtiles et subjectifs que notre environnement nous envoie.
Sans cette perception et cette connexion à soi, on devient manipulables et crédules au point où l’on pourrait croire que la santé ça s’injecte et que la maladie ça arrive par malchance.
La santé, ça ne s’achète pas, ça se pratique.
En plus de nous maintenir dans un état d’hyper-vigilance, ce monde hyper-nouveau crée chez nous une conséquence adaptative. Il nous fait diminuer progressivement notre capacité à percevoir le subtil et conséquemment, comprendre les énergies qui influencent notre santé.
Ça peut sembler tirer par les cheveux, mais pour certains, c’est très évidant. Le même principe s’applique lorsque nous plissons les yeux, ou bien nous portons mécaniquement à notre visage une paire de lunettes aux verres fumés face à un soleil radiant.
Lorsque le stimulus est trop grand, nous modulons nos habitudes de vie afin de s’adapter à ce gradient d’intensité nouveau. Autrement dit, nous filtrons la réalité pour y fonctionner plus « efficacement ».
Revenir au subtil est essentiel pour la santé humaine.
Sans quoi, des filtres subtiles seront placés sur notre perception. Nous serons dirigés seulement par ce que nos sens, rapidement effrités et manipulés, pourront capter, ou pire encore, ce qui leur sera autorisé de capter.
Il est bien difficile de percevoir la forêt lorsqu’on nous suggère fortement, sous peine de perdre notre emploi, de coller notre visage sur un arbre holographique aux dimensions colossales.
La compréhension du corps physique et de soi, donc de la santé, demande la capacité de décoder des messages subtiles et subjectifs que notre environnement nous envoie.
Sans cette perception et cette connexion à soi, on devient manipulables et crédules au point où l’on pourrait croire que la santé ça s’injecte et que la maladie ça arrive par malchance.
La santé, ça ne s’achète pas, ça se pratique.
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